Que faire lorsqu’une agence de renseignement américaine, manifestement bien aidée par ses petites camarades européennes, a — dixit Bruce Schneier, s’exprimant mercredi dernier lors de l’assemblée plénière de l’Internet Engineering Task Force, l’organisation qui rassemble les ingénieurs du réseau — « transformé l’Internet en une gigantesque plate-forme de surveillance » ?
Auteur: Amaelle Guiton
Non, nous n’avons pas touché le fond (du verre)
Il y a environ deux mois, j’ai lu — avec retard donc, le livre étant sorti début avril 2013 — La Condition numérique, de Bruno Patino et Jean-François Fogel (200 pages et quelque, chez Grasset).
De quoi Prism est-il le nom ?
(Disclaimer : la précision eût commandé de titrer ce billet : « De quoi Prism, Boundless Informant, XKeyScore, Bullrun, Tempora, etc., sont-ils le nom ? » — mais ça faisait vraiment trop long. Quant au plagiat éhonté du titre d’un fameux essai d’Alain Badiou, d’accord, c’est devenu tarte à la crème, mais la tentation était trop forte.)
Coffee & privacy
Tout a commencé par une conversation impromptue sur Twitter.
Maker Faire Rome : l’Open Source, le « branding », Bruce Sterling et la souveraineté numérique
Du 3 au 6 octobre, Rome accueillait la première (grande) Maker Faire européenne, un événement né en 2006 à San Mateo, en Californie.